tonton

d'inspiration glabouniste...

Lundi 1er septembre 2008 à 10:15

Salut à tous les loupiauds. Ben voilà, on arrive au preimier septembre et la rentrée qui approche. J'espère que les vacances se sont bien passées pour vous. Moi des vacances, je n'en ai pas eu, mais je vous invite à découvrir celles de mes parents qui ont évolué dans des paysages magnifiques qui sont les Alpes, à travers deux, trois photos.

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magnifique photo de ma soeur au milieu de ce beau paysage. Visiblement il faisait froid.

Et voilà le Mont Blanc ! Petit point sensibilisation environnement... c'est un des lieux où on voit beaucoup l'effet du réchauffement climatique à cause de la fonte des neiges éternelles. Actuellement seul le massif du Mont blanc est encore enneigé alors qu'il y a dix ans, quasiment tous les monts au-dessus de 2000 mètres l'étaient. Alors continuons nos efforts ! ! Il est trop tard pour revenir en arrière, mais on se doit de ralentir se processus afin de permettre à la biodiversité de s'adapter au mieux..  

J'aurais bien aimé y être !

Jeudi 28 août 2008 à 15:12

Un rayon de soleil filtre à travers les branches
Le brume se dissipe sur une douce bise
Et d'un tapis de feuilles de toutes les couleurs
Une pensée jaillit et s'ouvre à la lueur.
Sur une des pétales une goutte se fige
Tel un baiser de vie qui sur l'amour s'épanche.

La brume se dissipe sur une douce bise,
Entraînant avec elle ce parfum délicat.
Une forêt de pin et de la fleur d'orange,
Du chocolat fondu et les senteurs d'un ange,
Mille fruits, mille fleurs virevoltent en éclat
De ce fumet exquis l'inspiration nous grise

Une forêt de pin et de la fleur d'orange,
Un bruissement de feuilles, de jolis pépiements,
Le crépuscule accueille la plainte du hibou
Qui suit l'onde infinie au murmure si doux ;
Ce ruisseau vagabond qui n'a que pour amant
L'hymne frais des cigales, ce sifflement étrange.

Qui suit l'onde infinie au murmure si doux ? 
La caresse du vent dans tes cheveux défaits ?
Et sur ta peau mouillée comme un petit frisson
Enveloppe ton corps, te berce d'affection
Lentement je m'endors sur la muse des fées
En tremblant d'émotion tant ce rêve est vaudou

Lentement je m'endors sur la muse des fées
Qui suit l'onde infinie au murmure si doux
La brume se dissipe sur une douce bise
De ce fumet exquis l'inspiration nous grise
Un frisson d'émotion, une larme un peu floue
Tapisse de ouate cette hymne sans effets

Un rayon de soleil filtre à travers les branches
Une forêt de pin et de la fleur d'orange
De ce fumet exquis l'inspiration nous grise
De ce souffle de vie, l'expiration m'enivre
Et la muse s'inspire sur le chemin de l'ange
Jusqu'à ce qu'elle expire et retombe en silence.  
 

Mardi 26 août 2008 à 22:13

Les groupes, c'est comme un bon sandwich : 
- le batteur, c'est le pain. Il laisse un goût en fond, on y fait pas trop attention, mais il est vital : sans lui, tout se barre en couille
- le guitariste, c'est le jambon : c'est le goût dominant, celui qui attaque, celui qui donne le goût au sandwich. Mais il en faut pas trop.
- le chant, c'est les cornichons : c'est celui qui se dépose devant tout le monde. Pas long en bouche, mais très agréable, et dominant quand il est là. On peut éventuellement s'en passer.
- le clavier, c'est le beurre (de cacahuète ou pas), la mayonnaise, le fromage parfois : Il se marie super bien avec le reste, il lie toutes les saveurs entre elles, en trame de fond. Mais faut pas déborder, sinon ça coule.
- le bassiste, c'est la salade : Il a aucun goût, il est pas spécialement agréable. Mais il fait joli. Alors on en met, c'est l'usage.

Vendredi 20 juin 2008 à 17:02

Elle est pas belle mon affiche ? Venez nombreux...

Mardi 20 mai 2008 à 12:19

Monsieur le Ministre de la Défense Nationale,

Permettez-moi de prendre la respectueuse liberté de vous exposer ce qui suit et de solliciter de votre bienveillance l'appui nécessaire pour obtenir une démobilisation rapide.

Je suis sursitaire, âgé de 24 ans, et je suis marié à une veuve de 44 ans, laquelle a une fille qui en a 25. Mon père a épousé cette fille.
A cette heure, mon père est donc devenu mon gendre, puisqu'il a épousé ma fille. De ce fait, ma belle-fille est devenue ma belle-mère, puisqu'elle est la femme de mon père.

Ma femme et moi avons eu en janvier dernier un fils. Cet enfant est donc devenu le frère de la femme de mon père, donc le beau-frère de mon père. En conséquence, mon oncle, puisqu'il est le frère de ma belle-mère. Mon fils est donc mon oncle.
La femme de mon père a eu à Noël un garçon qui est à la fois mon frère puisqu'il est le fils de mon père, et mon petit-fils puisqu'il est le fils de la fille de ma femme. Je suis ainsi le frère de mon petit-fils, et comme le mari de la mère d'une personne est le père de celle-ci, il s'avère que je suis le père de ma femme, et le frère de mon fils. Je suis donc mon propre grand-père.

De ce fait, Monsieur le Ministre, ayez l'obligeance de bien vouloir me renvoyer dans mes foyers car la loi interdit que le père, le fils et le petit-fils soient mobilisés en même temps.

Dans la croyance de votre compréhension, veuillez recevoir, Monsieur le Ministre, l'expression de mes sentiments les meilleurs.

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