Un rayon de soleil filtre à travers les branches
Le brume se dissipe sur une douce bise
Et d'un tapis de feuilles de toutes les couleurs
Une pensée jaillit et s'ouvre à la lueur.
Sur une des pétales une goutte se fige
Tel un baiser de vie qui sur l'amour s'épanche.
La brume se dissipe sur une douce bise,
Entraînant avec elle ce parfum délicat.
Une forêt de pin et de la fleur d'orange,
Du chocolat fondu et les senteurs d'un ange,
Mille fruits, mille fleurs virevoltent en éclat
De ce fumet exquis l'inspiration nous grise
Une forêt de pin et de la fleur d'orange,
Un bruissement de feuilles, de jolis pépiements,
Le crépuscule accueille la plainte du hibou
Qui suit l'onde infinie au murmure si doux ;
Ce ruisseau vagabond qui n'a que pour amant
L'hymne frais des cigales, ce sifflement étrange.
Qui suit l'onde infinie au murmure si doux ?
La caresse du vent dans tes cheveux défaits ?
Et sur ta peau mouillée comme un petit frisson
Enveloppe ton corps, te berce d'affection
Lentement je m'endors sur la muse des fées
En tremblant d'émotion tant ce rêve est vaudou
Lentement je m'endors sur la muse des fées
Qui suit l'onde infinie au murmure si doux
La brume se dissipe sur une douce bise
De ce fumet exquis l'inspiration nous grise
Un frisson d'émotion, une larme un peu floue
Tapisse de ouate cette hymne sans effets
Un rayon de soleil filtre à travers les branches
Une forêt de pin et de la fleur d'orange
De ce fumet exquis l'inspiration nous grise
De ce souffle de vie, l'expiration m'enivre
Et la muse s'inspire sur le chemin de l'ange
Jusqu'à ce qu'elle expire et retombe en silence.
tonton
d'inspiration glabouniste...
Jeudi 28 août 2008 à 15:12
Mardi 26 août 2008 à 22:13
Les groupes, c'est comme un bon sandwich :
- le batteur, c'est le pain. Il laisse un goût en fond, on y fait pas trop attention, mais il est vital : sans lui, tout se barre en couille
- le guitariste, c'est le jambon : c'est le goût dominant, celui qui attaque, celui qui donne le goût au sandwich. Mais il en faut pas trop.
- le chant, c'est les cornichons : c'est celui qui se dépose devant tout le monde. Pas long en bouche, mais très agréable, et dominant quand il est là. On peut éventuellement s'en passer.
- le clavier, c'est le beurre (de cacahuète ou pas), la mayonnaise, le fromage parfois : Il se marie super bien avec le reste, il lie toutes les saveurs entre elles, en trame de fond. Mais faut pas déborder, sinon ça coule.
- le bassiste, c'est la salade : Il a aucun goût, il est pas spécialement agréable. Mais il fait joli. Alors on en met, c'est l'usage.
- le batteur, c'est le pain. Il laisse un goût en fond, on y fait pas trop attention, mais il est vital : sans lui, tout se barre en couille
- le guitariste, c'est le jambon : c'est le goût dominant, celui qui attaque, celui qui donne le goût au sandwich. Mais il en faut pas trop.
- le chant, c'est les cornichons : c'est celui qui se dépose devant tout le monde. Pas long en bouche, mais très agréable, et dominant quand il est là. On peut éventuellement s'en passer.
- le clavier, c'est le beurre (de cacahuète ou pas), la mayonnaise, le fromage parfois : Il se marie super bien avec le reste, il lie toutes les saveurs entre elles, en trame de fond. Mais faut pas déborder, sinon ça coule.
- le bassiste, c'est la salade : Il a aucun goût, il est pas spécialement agréable. Mais il fait joli. Alors on en met, c'est l'usage.